Martigues (Occitan: Lo Martegue in classical norm, Lou Martegue in Mistralian norm) is a commune northwest of Marseille. It is part of the Bouches-du-Rhône department in the Provence-Alpes-Côte d'Azur region on the eastern end of the Canal de Caronte.
History
The Greeks arrived mid 7th century BC and found a charming spot the other side of Martigues at St. Blaise and is becoming the main town in the west of the Etang de Berre. This site stands on a hill top plateau, amoungst pine trees and is situated between two peaceful etangs. This idyllic site too had previously been occupied by Celts, but the Greeks ‘kind of took it over’ and it grew and grew, finally becoming a town encompassing 40 hectares. Stone to build the site was chiselled out from the rock along the coast and transported inland. Similarly was stone acquired to built the site of Marseille, 40 kms to the west. The ancient chisel marks are still evident on close inspection.
Greeks arrived further south, on the shore of the Mediterranean Sea, form the two villages of Tamaris (-640 to -560) and the Arquet (-625 to -560) on two neighboring headlands. These two villages are home to only the space of a generation or two before being abandoned. The village of Tamaris also presents the remarkable character of being the oldest indigenous urban area of southern France.29. The period also saw the emergence of small villages on especially difficult summits of access such as the oppidum Escourillon or Mourre of Bœu
After the coastal stations of Tamaris and Arquet, larger sites begin to appear. Hill St. pierre33 is occupied from 550 BC. J.-C.29. The site will gradually become the most important oppidum avatique and the main town in the west of the chain of Nerthe29. About 475 BC. AD, another major urban center avatique is taking place on the Island. These three centers are experiencing a continuous occupation for several siècles29. Relations with Marseille are initially relatively peaceful.
Towards the end of the third century BC. AD, the Avatiques thus seem to be the first to have used indigenous writing grecque. However, with the capture of Phocaea by the Persians and the flight of its inhabitants to their colonial possessions, power Marseille has increased significantly. In fact, Marseille has a monopoly on amphora Provencal market. It seems that Marseille has sought to divide the Gauls. However, this does not exclude some direct interventions. In the fourth century BC. BC, the village of Arquet rebuilt close to important careers shaved. The most violent military crisis between Marseille and Avatiques date of -200 to -190 BC period. AD City Island is destroyed, but quickly reconstruite.
Towards the end of the third century BC. AD, the Avatiques thus seem to be the first to have used indigenous writing grecque. However, with the capture of Phocaea by the Persians and the flight of its inhabitants to their colonial possessions, power Marseille has increased significantly. In fact, Marseille has a monopoly on amphora Provencal market. It seems that Marseille has sought to divide the Gauls. However, this does not exclude some direct interventions. In the fourth century BC. BC, the village of Arquet rebuilt close to important careers shaved. The most violent military crisis between Marseille and Avatiques date of -200 to -190 BC period. AD City Island is destroyed, but quickly reconstruite.
Francais
Martigues est une commune française des Bouches-du-Rhône en Provence, également connue sous le surnom de « Venise provençale ». Elle s'étend sur les rives de l'étang de Berre et sur le canal de Caronte. Elle est composée de trois quartiers et de plusieurs villages. Les habitants sont appelés Martégaux et Martégales, mais on peut aussi parler de martegau (équivalent provençal de Martégal, prononcé martégaou) et martégallois.
L’oppidum grec de Saint-Blaise, fondé vers -650 sur le territoire actuel de Saint-Mitre-les-Remparts, tend ainsi à devenir la principale agglomération de l’ouest de l’étang de Berre. Elle concurrencera même Marseille pendant un temps29. Plus au sud, sur le rivage de la mer Méditerranée, se forment les deux villages des Tamaris (-640--560) et de l'Arquet (-625--560)29 sur deux promontoires voisins. Ces deux villages ne sont occupés que l’espace d’une ou deux générations avant d’être abandonnés. Le village de Tamaris présente aussi le caractère remarquable d’être le plus vieil ensemble urbain indigène du sud de la France29. La période voit aussi l'émergence de petites villages situés sur des sommets particulièrement difficiles d'accès comme les oppidum de l'Escourillon ou de la Mourre du Bœuf32.
Après les centres côtiers des Tamaris et de l’Arquet, des sites plus importants commencent à apparaître. La colline de Saint-Pierre33 est occupée à partir de 550 av. J.-C.29. Le site deviendra progressivement le plus important oppidum avatique et la principale ville dans l’ouest de la chaîne de la Nerthe29. Vers 475 av. J.-C., un autre centre urbain avatique d'importance se met en place sur l’Île. Ces trois centres connaissent une occupation continue pendant plusieurs siècles29. Les relations avec Marseille sont d'abord relativement pacifiques. Des échanges auront lieu entre Celtes et Massaliotes. Vers la fin du IIIe siècle av. J.-C., les Avatiques semblent ainsi être les premiers indigènes à avoir utilisé l'écriture grecque34. Cependant, avec la prise de Phocée par les Perses et la fuite de ses habitants vers leur domaine colonial, la puissance marseillaise a considérablement augmenté. De fait, Marseille a le monopole du marché provençal d’amphores. Il semble que Marseille ait cherché à diviser les peuples gaulois. Cela n’exclut cependant pas quelques interventions directes. Au IVe siècle av. J.-C., le village de l’Arquet, reconstruit près d’importantes carrières, est rasé. La plus violente crise militaire entre Avatiques et Marseillais date de la période -200--190 av. J.-C. La ville de l’Île est détruite, mais rapidement reconstruite
L’oppidum grec de Saint-Blaise, fondé vers -650 sur le territoire actuel de Saint-Mitre-les-Remparts, tend ainsi à devenir la principale agglomération de l’ouest de l’étang de Berre. Elle concurrencera même Marseille pendant un temps29. Plus au sud, sur le rivage de la mer Méditerranée, se forment les deux villages des Tamaris (-640--560) et de l'Arquet (-625--560)29 sur deux promontoires voisins. Ces deux villages ne sont occupés que l’espace d’une ou deux générations avant d’être abandonnés. Le village de Tamaris présente aussi le caractère remarquable d’être le plus vieil ensemble urbain indigène du sud de la France29. La période voit aussi l'émergence de petites villages situés sur des sommets particulièrement difficiles d'accès comme les oppidum de l'Escourillon ou de la Mourre du Bœuf32.
Après les centres côtiers des Tamaris et de l’Arquet, des sites plus importants commencent à apparaître. La colline de Saint-Pierre33 est occupée à partir de 550 av. J.-C.29. Le site deviendra progressivement le plus important oppidum avatique et la principale ville dans l’ouest de la chaîne de la Nerthe29. Vers 475 av. J.-C., un autre centre urbain avatique d'importance se met en place sur l’Île. Ces trois centres connaissent une occupation continue pendant plusieurs siècles29. Les relations avec Marseille sont d'abord relativement pacifiques. Des échanges auront lieu entre Celtes et Massaliotes. Vers la fin du IIIe siècle av. J.-C., les Avatiques semblent ainsi être les premiers indigènes à avoir utilisé l'écriture grecque34. Cependant, avec la prise de Phocée par les Perses et la fuite de ses habitants vers leur domaine colonial, la puissance marseillaise a considérablement augmenté. De fait, Marseille a le monopole du marché provençal d’amphores. Il semble que Marseille ait cherché à diviser les peuples gaulois. Cela n’exclut cependant pas quelques interventions directes. Au IVe siècle av. J.-C., le village de l’Arquet, reconstruit près d’importantes carrières, est rasé. La plus violente crise militaire entre Avatiques et Marseillais date de la période -200--190 av. J.-C. La ville de l’Île est détruite, mais rapidement reconstruite
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